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Les lois de la robotique

Dès 1942, dans une nouvelle intitulée Cercles vicieux, l’écrivain de science-fiction américain, Issac Asimov énonce trois lois d’éthique pour les robots.

Ces lois étaient d’abord destinées à son roman, I robot (adapté par la suite en film par Steven Spielberg). Leur but était de contester ce qu’il appelait le « complexe de Frankenstein » où les robots étaient créés et détruisaient leurs créateurs.

 

          Ainsi il énonça :

    -  Première loi : « Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger. »

    -  Deuxième loi : « Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si ses ordres sont en contradiction avec la première loi. »

   - Troisième loi : « Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi. »

          Puis en 1985, Asimov rajoute une quatrième loi dans Robots et Empire qui sera rebaptisée loi zéro :

« Un robot ne peut ni nuire à l’humanité ni, restant passif, permettre que l’humanité souffre d’un mal. »

 

          Ces lois dérisoires ont fait polémique chez les scientifiques. Elles n’ont jamais vraiment été mises en application mais les chercheurs comme ceux  de Robo Brain s’en sont inspirés pour créer les limites de la base et redonner une vision meilleure de lintelligence artificielle, un sujet très critique.

        En effet, grâce à Robo Brain, les robots connectés ne doivent qu’apporter une aide supplémentaire aux humains selon le secteur de robotique (domestique, usine, ...) dans lequel ils agiront.

          Des prévisions sont faites à ce niveau-là. Ils contribueront à l’aide-ménagère mais aussi dans les entreprises à apporter une main-d’œuvre, etc … Ils anticiperont les actions des hommes pour les aider car leur but premier est de comprendre l’Homme à travers ses mouvements.

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© 2014

par Philomène Mulot, Bérénice Thouvenin et Claire Vasselin.

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